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Sauver des vies de la drogue


Dans la lutte continuelle pour sauver des gens de la drogue en Europe, le programme Narconon obtient constamment les meilleurs résultats : des vies libérées des drogues.


De gauche à droite : Les centres Narconon européens comme ceux d’Espagne de Suède et de Suisse, sont acclamés : 70 % des toxicomanes qui terminant le programme, ne rechutent pas. Des milliers de familles, comme celle à gauche, ont été sauvées.

En Belgique et dans le reste de l’Europe, un toxicomane coûte à la société approximativement 200 000 Euros par an, selon les chiffres actuels.

Des estimations modestes montrent que le programme Narconon a permis à la société européenne d’économiser 60 000 000 d’euros rien que l’année dernière — et ce chiffre se réfère uniquement aux nouveaux diplômés du programme, complètement libérés de la drogue. La valeur du programme pour la société se compte par dizaines de milliards.

Ce n’est qu’une des raisons pour laquelle le programme Narconon a attiré l’attention et le support enthousiaste de l’Europe durant ses trois décennies et demie d’existence.

Mais la raison principale pour laquelle il a acquis une réputation internationale est également la plus importante : le programme Narconon sauve des vies. Une moyenne remarquable de 70 % de toxicomanes ayant terminé le programme ont recommencé à contribuer à la société et n’ont jamais repris de drogues. Cela inclut des toxicomanes belges qui ont été réhabilités dans les centres Narconon en France, aux Pays-Bas, en Suisse et aux États-Unis.

Apr&es ses débuts modestes aux États-Unis en 1966, Narconon comprend aujourd’hui 101 centres de réhabilitation et d’éducation sur les drogues à travers le monde — y compris des groupes dans 18 pays en Europe, depuis le sud de l’Espagne jusqu’au nord de la Sibérie.

Narconon a libéré des milliers de toxicomanes de la dépendance des drogues et de l’alcool, dont beaucoup étaient des toxicomanes endurcis. Ses différents centres ont également donné des cours, des conférences et des séminaires concernant les drogues à des millions d’enfants et d’adultes dans le cadre de sa campagne de prévention.

Les échecs répétés dans la réhabilitation des toxicomanes ont amené à croire que la dépendance aux drogues est une maladie incurable et que les toxicomanes et la société n’ont pour seul et unique espoir que d’apprendre à vivre avec leur problème. D’autres croient que les drogues de substitution — et les programmes coûteux requis pour les administrer — sont la seule solution.

Narconon n’utilise ni drogue de substitution ni médicaments pour résoudre le problème de la dépendance. Les matériaux éducatifs et les méthodes du programme permettent à l’individu d’atteindre le but d’une vie sans drogue — et sans avoir besoin de drogues pour y arriver. Des recherches ont également démontré que le programme Narconon réduit les récidives de façon dramatique, aussi bien du point de vue de la dépendance que de la criminalité.

Les origines du succès

Narconon a vu le jour dans une prison de l’État d’Arizona aux États-Unis, après que William Benitez, toxicomane depuis l’age de 13 ans, ait lu un livre consacré au mental et à la vie, écrit par l’auteur et philosophe L. Ron Hubbard. Il avait alors écrit à M. Hubbard, qui lui avait donné de l’aide et des conseils et il a finalement réussi à surmonter sa dépendance. Benitez a alors crée un programme dans la prison, pour aider d’autres toxicomanes à s’en sortir et l’a appelé « Narconon » — qui signifie « Non aux drogues ».

Après son succès en Arizona, d’autres programmes Narconon sont nés dans d’autres prisons, suivis du premier centre en dehors des prisons, établi à Los Angeles en 1971.

Bien que fortement soutenu par les Églises de Scientologie et les scientologues depuis le début, Narconon est une organisation sans but lucratif indépendante et non religieuse. Son programme laïc est ouvert aux personnes de toutes croyances et religions et a été accomplí avec succès par plusieurs d’entre elles.

Le programme prend en moyenne de quatre à six mois et consiste en quatre étapes comprenant le sevrage et la désintoxication, des cours de communication pour augmenter la concentration et le contrôle de soi, la restauration de l’éthique et des valeurs personnelles, ainsi que l’acquisition d’un savoir-faire et de compétences comprenant des méthodes objectives, qui permettront à l’individu maintenant libéré des drogues de résoudre toute situation qu’il pourrait rencontrer dans la vie.


Le centre international de formation et établissement principal du réseau Narconon — Narconon Arrowhead dans l’état de l’Oklahoma aux États-Unis — est le plus grand centre de réhabilitation de ce type au monde

Un élément essentiel du programme est la procédure de désintoxication. M. Hubbard a découvert que les résidus des drogues sont conservés dans les tissus gras du corps, de sorte que même plusieurs années après avoir « arrêté » les drogues, un individu peut continuer à en ressentir les effets. M. Hubbard a développé une procédure,suivie médicalement, destinée à éliminer ces résidus du corps, incluant des exercices physiques, de la sudation au cours de séances de sauna modérées, une bonne alimentation et des suppléments alimentaires exactement dosés.

« Grâce au programme Narconon, je suis encore en vie. »

Au cours du programme, l’individu s’occupe des raisons qui l’ont amené à se tourner vers les drogues en premier lieu, le libérant ainsi de la compulsion à en prendre – rendant donc possible une réhabilitation complète et durable.

« Je ne me suis jamais senti aussi bien et aussi propre qu’aujourd’hui, même après ne plus avoir pris de drogues pendant 3 ans. C’est comme si j’embrassais le monde entier. C’est si bon de rire à nouveau du fond du cœur! » a déclaré un ex-toxicomane après avoir terminé le programme Narconon.

« Je m’injectais ce que l’on considère comme une dose mortelle d’héroïne de 1,5 gr tous les jours », dit une autre personne qui a terminé le programme. « C’est grâce à Narconon que je suis encore vivant ! »

Narconon procure des résultats durables, comme le confirment de nombreux ex-toxicomanes.

« J’ai arrêté de prendre des drogues en 1983, lorsque j’ai commencé le programme Narconon, dit une ex-toxicomane. Il est inutile de dire à quoi ressemblait ma vie en tant que toxicomane. Je ne peux pas dire la même chose de ma vie actuelle, de laquelle je suis pleinement satisfaite. J’ai épousé un homme que j’ai rencontré pendant le programme et je l’aime énormément. J’ai un enfant qui est maintenant ma plus grande joie. »

Reconnaissance

Le programme Narconon a été acclamé internationalement par des diplômés du programme, des parents, des fonctionnaires, des médecins et des experts en réhabilitation des drogués. Dans des pays tels que la Suisse, le Danemark et la Suède, le gouvernement subsidie les centres Narconon. Narconon a été examiné par des médecins, des sociologues, des juges et des experts en toxicomanie dans divers pays, qui ont confirmé les résultats atteints systématiquement pendant 3 décennies et demie.

Le programme phare de Narconon aux États-Unis — le plus grand centre de réhabilitation de ce type et également le centre de formation pour le réseau Narconon — est reconnu par la Commission d’Accréditation Nationale de Réhabilitation, considérée comme l’autorité dans ce domaine.

Narconon s’inspire de ce principe simple mais toujours vrai selon lequel « Toutes les grandes cathédrales ont commencé par la pose d’une première pierre. L’unité de construction d’une grande société est l’individu. » — des mots écrits par M. Hubbard.

Les centres Narconon d’Europe oeuvrent chaque jour avec succès vers le but d’une société meilleure — en libérant de l’emprise des drogues une vie après l’autre.

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