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Apporter de l’aide, là où elle est la plus nécessaire  
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LE QUÉBEC À GROUND ZÉRO

Apporter de l’aide, là où elle est la plus nécessaire

Les nouvelles tragiques qui nous sont arrivées des États-Unis, le 11 septembre 2001, ont provoqué une avalanche de réactions du Québec et du monde entier.


(Ci-dessus :) Marlene Gagné de Montréal était parmi les dizaines de Ministres Volontaires de la Scientologie du Canada qui ont réuni leurs efforts sur le site du « World Trade Center », travaillant épaule à épaule avec d’autres pour fournir l’aide et l’espoir face à l’horrible tragédie. (ci-haut :) Le maire de la ville de New York, M. Rudolph Giuliani, rend hommage au travail des ministres volontaires
En automne 2001, dans une Église de la rue Ste-Catherine à Montréal, le premier ministre, le maire de Montréal, la consule américaine, de nombreux autres dignitaires et une grande foule dont des centaines de personnes dans la rue étaient rassemblés pour une célébration interreligieuse en mémoire des victimes et afin exprimer leur solidarité envers le peuple américain.

Les Québécois ont également fait preuve d’une grande générosité en rassemblant des millions de dollars pour les victimes de la tragédie.

D’autres ont donné leur temps et leurs compétences, réorganisant leur vie pour aller aider les sauveteurs sur place, à New York.

Comme Marlène Gagné de Montréal et Hélène Dion de Québec. Toutes deux ont reçu la formation de Ministre volontaire qualifié de l’Église de Scientologie, et sont de ce fait plus aptes que la plupart des gens à aider dans de telles circonstances.

Une journée à peine après le désastre, un total de cinq Ministres Volontaires de Scientologie de Québec dont certains venaient de régions aussi éloignées que Rouyn-Noranda, ont voyagé jusqu’à New York par n’importe quel moyen possible. Bientôt, ils se sont retrouvés au milieu de centaines de volontaires de la Croix-Rouge, de l’Armée du Salut et d’autres agences de sauvetage au milieu des montagnes de cendres et de décombres — connu sous le nom de « Ground Zéro. »

Hélène Dion a réalisé qu’il n’y avait rien de plus important que d’alller à New York. « Je n’y ai même pas pensé. je voulais juste aider,» dit-elle. « Quand tu as voué ta vie à aider les autres, quelle autre réaction peux-tu avoir ? »

Répondre aux besoins

À peine arrivés, les ministres volontaires se sont mis à travailler 24 heures sur 24, aidant les sapeurs-pompiers, la police, les secouristes et les équipes médicales dont l’héroïsme restera à jamais un exemple de courage et de sacrifice pour les générations à venir.

Le quartier général des organisations de volontaires à « Ground Zéro » se trouvait dans l’immeuble de cinq étages de l’école Stuyvesant, non loin du « World Trade Center. » Avant même que les Ministres volontaires du Québec arrivent, la police avait déjà mis leurs confrères de New York responsables des opérations à l’école en raison de leur rapidité, de leur efficacité et de leur ardeur à entreprendre n’importe quelle tâche.

« Ce que j’ai observé chez les Ministres de Scientologie, je ne l’ai jamais observé chez aucune personne des autres organisations », raconte un secouriste d’urgence médicale du district de Manhattan. « Au début, même les sapeurs-pompiers et le personnel des ambulances n’étaient pas disponibles. Ceux qui étaient disponibles depuis le début étaient les Ministres de Scientologie. »

Le centre installé dans l’école s’occupait d’apporter nourriture, boissons, vêtements, masques de protection et autres nécessités indispensables aux secouristes du « Ground Zéro. » Les volontaires ont établi un centre de réconfort près de l’endroit lugubre où se déroulaient les opérations; ce centre fut surnommé « Freedom Café » (café de la liberté) par les secouristes.

Les équipes de secouristes qui travaillaient sur les montagnes de décombres, là où les deux tours du « World Trade Center » s’édifiaient jadis, ont largement apprécié l’aide qu’ils ont reçue des Ministres volontaires. Ceux-ci leur fournissaient ce qui leur était nécessaire, joignant les lignes pour transporter des chaudières de débris de ce qui restait des bâtiments.

« Ces gars-là font des miracles »


Aidant le travail des sauveteurs par tous les moyens possibles, les Ministres volontaires se sont également servi de leurs compétences pour aider ceux qui travaillaient sur le site à se libérer du poids du stress, des traumatismes et de la tristesse en utilisant des techniques simples mais efficaces appelées procédés d’assistance. (Dessous :) Un Ministre volontaire donne un procédé d’assistance à un travailleur secouriste pour l’aider à soulager un inconfort psysique.
Aidant le travail des sauveteurs par tous les moyens possibles, les Ministres volontaires se sont également servis de leurs compétences pour aider ceux qui travaillaient sur le site à se libérer du poids du stress, des traumatismes et de la tristesse. Les Volontaires ont utilisé les techniques simples mais efficaces, appelées procédés d’assistance, qui se trouvent dans la religion de Scientologie. N’étant aucunement des substituts aux traitements médicaux, ces procédés d’assistance se concentrent sur les aspects spirituels des blessures, des maladies et des douleurs émotionnelles.

Ils incluent le procédé de localisation grâce auquel une personne épuisée, désorientée ou traumatisée, est réorientée en reprenant conscience de son environnement immédiat — une chose vitale en cas d’urgence, au moment où les gens ont le plus besoin dêtre alertes et capables de se concentrer sur le travail à effectuer. S’ils sont utilisés en plus des premiers secours et des soins médicaux appropriés, les procédés d’assistance pour blessures et maladies peuvent considérablement accélérer le temps de rétablissement. Certains Ministres volontaires ont aussi aidé des personnes à surmonter la dépression, la peur ou le chagrin lié à la perte et à la tragédie; ils ont aidé ceux pour qui le temps semblait s’être arrêté après la violence de l’incident.

Marlene Gagné a prodigué des procédés d’assistance à de nombreux sauveteurs.

« Les hommes qui venaient à nous étaient complètement épuisés. Ils ne pouvaient pas continuer, mais étaient déterminés à le faire quand même, dit-elle. Après les procédés d’assistance, ils revivaient au point où ils pouvaient remettre leurs bottes et retourner au travail. » Pour Mme Gagné, voir ce genre de changement, fut « le sentiment incroyable de pouvoir aider quelqu’un facilement et efficacement. »

Certains procédés d’assistance utilisent des procédures de Dianétique, le best-seller de l’auteur et fondateur de la Scientologie, L. Ron Hubbard. Comme l’a dit un des sapeurs-pompiers de New York, « Elle [la Dianétique] m’a aidé à traverser l’épreuve de « Ground Zéro » et à surmonter la colère, la dépression et l’anxiété que je ressentais. »

« Nous recevons de nombreuses félicitations pour ce que nous faisons », dit un officier de police de New York, « mais je pense que bon nombre de ces dernières reviennent aux personnes qui nous entourent, telles que les Ministres Volontaires de Scientologie qui nous ont offert leur réconfort alors que nous étions là-bas, au moment où nous en avons eu besoin — probablement plus que ce que la plupart des gens ne comprennent ou ne réalisent. »

« Bon nombre des sauveteurs étaient stressés, épuisés et exténués à l’extrême », raconte un officier de l’American Rescue Team International, « et la contribution [du Ministre volontaire de Scientologie] en les aidant à traiter leurs problèmes, leurs bouleversements et à prendre un peu de repos, a été un effort très productif et très valable. »

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« Quand tu as voué ta vie à aider les autres, quelle autre réaction peux-tu avoir ? »
— Hélène Dion

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Hélène Dion se souvient d’un groupe de douze Officiers de la police qui, un par un, sont venus la remercier pour l’aide qu’elle leur avait apportée. « La quantité de gratitude était incroyable. Je suis venue à New York parce que je savais que personne d’autre ne pouvait aider de la façon dont les Ministres volontaires savent le faire et cela a fait une telle différence pour les secouristes là-bas. »

Comme l’a dit un médecin du Département de police de New York, alors qu’il envoyait des gens voir les Ministres Volontaires pour de l’aide, « Ces gars-là font des miracles. »

Mettre de l’ordre

Tandis que tous les Ministres volontaires de Scientologie apprennent les techniques des procédés d’assistance, une formation continue a permis à de nombreuses personnes d’acquérir plus de compétences et d’efficacité question organisation — car la première chose à faire en cas d’urgence ou de désastre, au même titre que les premiers soins, est de mettre de l’ordre.

Comme le décrivent Mmes Gagné et Dion à propos de Ground Zéro, l’ampleur du désastre a créé un état de choc, de confusion et de désorganisation. Les équipes de secours n’arrivaient pas à suivre le rythme des opérations. Les Ministres volontaires ont organisé les lignes et ont servi de main-d’oeuvre partout où celle-ci manquait afin de s’assurer que les fournitures et approvisionnements soient distribués là où ils étaient nécessaires.

Des volontaires de Scientologie incluant ceux du Québec ont transporté les provisions au Freedom Café depuis les véhicules de l’Armée du Salut, garés à deux pâtés de maisons du site. Ils ont poussé des chariots au milieu des débris, traîné des lances à incendie des camions jusqu’au Café. Ils ont également distribué des sandwichs et du café aux secouristes, mis de l’ordre dans les produits qui arrivaient à la zone Stuyvesant ou donné des procédés d’assistance — comme tous les Ministres volontaires, ils étaient là où l’aide était la plus nécessaire.

La plupart du temps, Mmes Gagné et Dion aidaient au Freedom Café où, disent-elles, les secouristes pouvaient trouver quelques instants de répit.

« Je n’ai jamais vu des gens aussi dévoués. Leur volonté et leur courage leur ont permis de travailler 24 ou 36 heures sans interruption, dans des conditions absolument épouvantables », a dit Mme Gagné, en parlant des hommes qui oeuvraient dans les impressionnants décombres des tours du « World Trade Center » ou à 20 mêtres sous terre, dans leurs fondations. Les efforts des se-couristes, dit Mme Gagné, étaient plus intenses dans les fondations dotées d’un abri antibombe construit à l’origine en cas de désastre potentiel. Ils avaient l’immense espoir d’y trouver des survivants, ou dans des espaces entre les ruines des fondations.

Le Freedom Café se trouvait près de l’endroit où les équipes de secouristes descendaient dans les fondations et des volontaires offraient nourriture, boissons fraîches et café au perpétuel défilé d’ouvriers, leur prodiguant également les procédés d’assistance qui les aidaient.

L’aide efficace prodiguée par des Ministres volontaires de Scientologie tels que Mmes Dion et Gagné et des centaines d’autres, bien visibles avec leurs chemises jaunes, se répandit rapidement de bouche à oreille parmi la police, les pompiers et les officiels de New York, dont le maire qui a félicité leur travail.

« Bien que de nombreuses organisations religieuses aient apporté leur aide au moment de cette catastrophe, peu sont aussi bien organisées que les Scientologues ; cela se voit nettement sur place », relate un article du « The New York Times », décrivant le travail des quelques 800 Ministres volontaires qui ont participé à l’effort de secours à New York. « Quand on a demandé à de nombreux volontaires de partir pour le week-end, on a permis aux Scientologues de rester travailler aux côtés de groupes tels que la Croix-Rouge américaine et l’Armée du Salut. »

Un esprit d’entraide


Les Ministres volontaires de la Scientologie ont participé aux opérations d’aide au « Pentagone » où les terroristes ont effectué leur troisième attaque contre les États-Unis le 11 septembre dernier.
Les Ministres volontaires ont également aidé au-delà des limites immédiates du site du désastre, apportant de l’aide aux citoyens désespérés par les événements, ayant perdu des amis ou de la famille.

Au cours des deux premières semaines qui suivirent l’attaque terro-riste, plus de 800 Ministres volontaires de Scientologie ont contribué à « Ground Zéro » et partout dans New York, certains restant pendant toute la durée des travaux, d’autres aussi longtemps qu’ils le pouvaient. Parmi ce corps de volontaires se trouvaient des membres d’autres croyances, ainsi que des ouvriers sociaux et religieux, des psychologues et d’autres personnes qui ont été formées aux techniques des procédés d’assistance.

Les Ministres volontaires soulignent que c’est grâce au travail de tous ceux présents à Ground Zéro que les efforts de secours et de soulagement ont pu aller de l’avant. Leur esprit d’équipe, la camaraderie et la compassion imprégnant le site du désastre ont inspiré les pompiers, la police, les EMT et tous les travailleurs et volontaires à surmonter l’horreur et la dévastation.

Confronté au sinistre, un Ministre volontaire a exprimé ceci : « J’ai été témoin de façon directe et j’ai fait l’expérience d’une incroyable puissance générée quand des groupes efficaces se réunissent pour atteindre un but commun. Je réalise que ceci est un moment inoubliable. »

Mme Gagné est restée six jours à New York et Mme Dion, deux. Quelques jours après leur départ, les opérations de secours furent officiellement arrêtées et remplacées par la pénible tâche de nettoyer ce qui restait de la structure d’acier torturée et de débris.

Mme Gagné dit que les jours qu’elle a passés à aider au « Ground Zero » lui ont donné la plus satisfaisante des expériences qu’elle a vécues. « L’esprit d’entraide est devenu une force puissante pour chacun de ceux qui étaient impliqués et cela a amené tout le monde ensemble d’une façon que je n’avais pas imaginée possible auparavant, dit-elle. Faire partie de cela et faire une différence réelle pour les autres a été une des expériences les plus valables de ma vie. »

Aide à D.C. et sur un plan international

Les Ministres volontaires ont également réagi dans « l’incident Pentagone », à Washington D.C., où les terroristes ont lancé leur troisième attaque. Là, ils ont joint leur aide à celle des volontaires de la Croix Rouge et à celle d’autres organismes religieux, de jour comme de nuit.

Les Ministres volontaires de Scientologie sont actifs depuis des années, aux côtés des organisations humanitaires, des agences gouvernementales de se-cours et des services médicaux internationaux. C’est en juillet 1996 qu’au Québec, ils ont apporté aux victimes leur assistance durant les désastres du Saguenay et ont aussi aidé ceux qui furent affectés par les tempêtes de verglas en fournissant des abris. À travers le monde, ils sont venus en aide à des dizaines de milliers de gens après de terribles tremblements de terre comme ceux survenus à Sakhaline, à Los Angeles, au Mexique, en Colombie, au Japon et en Turquie ; suite aux ouragans aux États-Unis, à Puerto Rico et au Nicaragua ; suite à la lame de fond en Papouasie-Nouvelle-Guinée ; suite aux inondations et autres désastres naturels. Ils ont aidé les victimes des désastres créés par l’homme, dont le bombardement en 1995 de l’immeuble fédéral en Oklahoma, ainsi que dans les régions dévastées par la guerre au Kosovo et en Tchétchènie.

Les Ministres volontaires qui se sont impliqués dans un ou plusieurs de ces mouvements de secourisme, s’entendent cependant pour dire qu’aucun des désastres n’a jusque-là égalé, en destruction, celui dont ils ont été témoins lors de l’attaque terroriste du 11 septembre aux États-Unis.

Ils ont répondu présents et continueront à le faire pour apporter leur aide, qu’il s’agisse de cataclysmes ou de problèmes plus minimes de la vie de tous les jours. Les ministres volontaires de Scientologie agissent au quotidien sur un plan beaucoup plus large, utilisant leurs innombrables compétences pour aider amis, associés et étrangers à résoudre leurs conflits, réparer des relations brisées, augmenter le niveau d’instruction des enfants et des adultes, aider des collègues de travail qui subissent des échecs et dans de multiples autres circonstances.

M. Carl LeBlanc, porte-parole de l’Église de Scientologie à Québec, a annoncé que la formation aux compétences fondamentales employées par les Ministres volontaires est un service public qui est disponible pour tous ceux qui veulent aider les autres. « Nous invitons et encourageons tout le monde à devenir Ministre volontaire actif », ajoute-t-il.

Pour découvrir comment devenir Ministre volontaire ou pour plus d’informations, contacter M. Jean Lariviève à Montréal au 514-527-9908 ou M. Carl LeBlanc à Québec au 418-524-4615.

Les volontaires québécois travaillent main dans la main avec les organisations humanitaires afin d’aider les équipes de secouristes, les officiels et les victimes des attaques terroristes.


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