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Les drogues : Renverser le courant
 
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Les drogues : Renverser le courant

L’abus des drogues augmente à travers l’Europe. C’est par l’éducation et la prévention que le problème peut être traité et c’est un telle campagne qu’une association de scientologues est en train de mener en Belgique.

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Beaucoup de ressources sont employées pour s’attaquer aux résultats destructeurs de l’abus des drogues et de la toxicomanie à travers l’Europe. Une association de scientologues se consacre à éduquer les gens afin d’éviter qu’ils n’en prennent.

L’abus des drogues n’est pas en train de baisser en Europe, selon le rapport publié en octobre par l’agence européenne responsable des rapports sur les drogues, le Centre européen de contrôle des drogues et de l’accoutumance aux drogues (EMCDDA = European Monitoring Centre for Drugs and Drug Addiction).

Cette agence basée à Lisbonne rapporte que les programmes de traitement contre l’abus d’héroïne sont moins populaires, et que davantage de jeunes consomment de la marijuana et de la cocaïne.

Alors que la Belgique se situe parmi les pays d’Europe qui consomment le moins de cannabis (1.5%), d’autres informations largement disponibles montrent que la consommation de drogues comme l’Ecstasy augmente parmi les jeunes dans toute l’Europe. L’« attrait » des pilules de synthèse, comme « E » vient du fait qu’elles ne demandent ni attirail de fumeur, ni seringues, ni quoi que ce soit d’autre ; tout ce que l’on a à faire, c’est prendre une pilule.

Dans la société d’aujourd’hui, orientée comme elle l’est vers la chimie, et grâce à des campagnes de publicité massives et bien menées pour vendre des pilules psychotropes directement au consommateur, beaucoup de jeunes ont grandi avec l’idée que prendre des pilules faisait partie de la vie quotidienne. Ce facteur a grandement contribué à rendre lesdites pilules encore plus « populaires » auprès de cette jeunesse qui, en temps normal, n’aurait pas éprouvé un grand intérêt pour ces drogues.

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CAMPAGNE EUROPÉENN
Les membres des associations « Non à la drogue, Oui à la vie », en Belgique et à travers toute l’Europe, informent et éduquent les enfants et les adultes en leur communiquant des informations factuelles sur les drogues. L’association a touché des millions d’Européens au cours des dix dernières années.

Mis à part le lancement d’une drogue soigneusement marquetée sous le nom racoleur d’Ecstasy (NdT : Extase), il n’y a pas grand chose de « neuf » dans cette histoire : brevetée en 1914 par la société pharmaceutique allemande Merck, cette drogue a eu beaucoup de noms différents, le plus commun étant Ecstasy.

Au cours des années 1970, plusieurs psychologues américains commencèrent à l’utiliser en « psychanalyse ». A partir de là, elle se répandit dans la société. Les pilules et les gélules d’Ecstasy vendues aujourd’hui peuvent être des mélanges d’Ecstasy et d’autres drogues ou de substances dangereuses, y compris du poison pour les rats d’après les informations publiées par le Comité national d’information sur la drogue (CNID) à Saint-Gratien en France. Cela signifie que le stupéfiant et ses effets secondaires ne sont qu’une partie du problème – car les utilisateurs ne savent jamais ce qu’ils « consomment » réellement.

La prévention – le remède

En Belgique comme dans d’autres pays d’Europe, différents moyens de traiter le problème de la drogue sont débattus et on rencontre des opinions contradictoires allant des programmes de « minimisation du mal » qui comprennent la prescription d’héroïne et les chambres d’injection légalisées jusqu’à la dépénalisation de l’emploi de « drogues douces ». Toutefois, les progrès faits, s’il y en a, sont extrêmement mineurs.

Le problème sous-jacent, dit Monique De Turck, porte-parole de l’association belge « Non à la drogue, Oui à la vie », à Bruxelles, c’est que les débats actuels essaient généralement de résoudre le mauvais problème.

« Sans une éducation importante au sujet des drogues sur une très grande échelle, et quelles que soient les pénalités encourues, les programmes ou les lois, nous ne diminuerons pas l’abus des drogues », a encore déclaré Monique De Turck. « Nous avons besoin de faire un effort au niveau du pays pour éduquer la jeunesse et les adultes en leur communiquant la vérité sur les drogues et leurs effets dévastateurs. Alors, ils éviteront les drogues et ils décideront d’eux-mêmes de ne pas en prendre parce qu’ils ne veulent pas se détruire mentalement, physiquement et spirituellement. »

L’Association « Non à la drogue, Oui à la vie », a été créée en Suisse il y a plus de dix ans sur l’initiative de membres des Églises de Scientologie. Les millions de scientologues de par le monde constituent en effet une communauté sans drogues aucunes. Des Églises de Scientologie fournissent des conseils, des services et une formation qui suppriment efficacement les vraies raisons pour lesquelles les gens se tournent vers les drogues. Elles organisent et soutiennent les campagnes d’éducation et de prévention dans tous les pays. Les membres de l’Église soutiennent également le programme de réhabilitation des toxicomanes largement reconnu pour son efficacité , Narconon qui a plus de 70 centres dans 29 pays.

Alors que tout doit être fait pour continuer à réfréner l’abus et l’accoutumance aux drogues et ses conséquences dans la société, le porte-parole a insisté sur le fait que le même effort doit être poursuivi en matière d’éducation et de prévention.

Informations et avis pratiques

Les armes dont dispose l’Association dans sa lutte contre l’abus des drogues en Belgique sont faites de brochures pour informer la jeunesse et les adultes sur les dangers des drogues. Ces publications instructives et pratiques, sur la marijuana, l’Ecstasy et l’héroïne, ont été produites à l’origine par les associations « Non à la drogue, Oui à la vie » de Genève et de Lausanne. La documentation décrit simplement et de façon très réaliste ce que sont les drogues, ce qu’elles font et comment elles détruisent l’individu.

Près de 250 000 brochures éducatives ont été distribuées à ce jour en Suisse, en Belgique, en France, en Guadeloupe, au Canada et les premières des versions traduites se trouvent maintenant au Danemark. Des traductions sont en cours pour que la distribution puisse se poursuivre dans tous les pays d’Europe en réponse à la demande continuelle des parents, des professeurs, des officiers de police, des organisations de jeunesse et autres. Des lettres de reconnaissance et des témoignages sur l’utilité des informations sont reçues tous les jours. Des parents confirment l’impact des livrets sur leurs enfants. Des adolescents reconnaissent qu’ils ne se laissent plus attirer par des drogues euphorisantes.

« L’aide la plus efficace que nous avons pour résoudre le problème de la drogue est la vérité : des informations factuelles sur les drogues et ce qu’elles font. Nous ne réussirons à long terme et en tant que pays que si nous informons et éduquons, » a ajouté Monique De Turk. « Il appartient aux organisations sociales, aux Églises, aux écoles et aux organisations de parents et de la jeunesse de le faire, quelle que soit la politique ou la législation en vogue. La prévention est le seul remède durable. »

Pour obtenir des exemplaires gratuits des brochures « Non à la drogue, Oui à la vie », écrivez à l’Association « Non à la drogue, Oui à la vie », 9 rue Général McArthur, 1180 Bruxelles.

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